L'ère coloniale du monde par les Pays-Bas et le Japon fait partie de l'histoire que nous entendons et apprenons souvent. Le colonialisme et l'impérialisme mis en œuvre par le gouvernement néerlandais ont entraîné des changements dans la société dans divers domaines. Étant donné que le but des Pays-Bas était d'enrichir leur propre peuple, bon nombre des politiques en place étaient très préjudiciables à la société mondiale à l'époque coloniale.
Il y a plusieurs choses qui peuvent attirer les nations occidentales, y compris les Pays-Bas, vers le monde. Premièrement, le sol fertile du monde peut produire de nombreuses épices qu'ils ne trouvent pas dans leur pays d'origine. Deuxièmement, le monde a une beauté naturelle en tant qu'archipel.
Troisièmement, le climat tropical et les tribus chaudes du monde sont très différents des pays européens qui connaissent quatre saisons. Enfin, les non-épices du monde sont également abondantes, comme la canne à sucre, le riz, le pétrole et le charbon.
Pendant la période coloniale, les Néerlandais exerçaient un monopole commercial. Le commerce de monopole peut être défini comme une forme de commerce dans laquelle le marché est contrôlé par un seul vendeur. Cela se traduit par une tarification faite par le vendeur.
Même ainsi, le monopole commercial a eu plusieurs effets positifs pendant la période coloniale. Premièrement, l'activité commerciale dans le monde est de plus en plus occupée. Deuxièmement, la communauté mondiale sait faire du commerce. Troisièmement, les commerçants autochtones peuvent établir une coopération avec d’autres pays. Enfin, la communauté mondiale peut obtenir des informations sur les produits qui se vendent bien sur le marché.
Mais, bien sûr, le monopole commercial a ses effets négatifs. Le revenu des épices a continué de baisser car le prix était déterminé par le COV. La production d'aliments non épicés a également diminué, entraînant la famine. En conséquence, le taux de pauvreté a augmenté et fait encore plus souffrir la population.
Outre le monopole commercial, des politiques de travail ont été émises pendant la période coloniale, dont certaines sous la direction du gouverneur général Herman Willem Daendels. Les politiques émises couvrent trois domaines, à savoir le domaine de la défense et de la sécurité, le domaine du gouvernement et le domaine de l'économie sociale.
Les politiques hollandaises dans le secteur de la défense et de la sécurité comprennent la construction de fortifications, la construction de bases navales à Anyer et Ujung Kulon, la construction de l'autoroute Anyer-Panarukan, la construction d'usines d'armement et une augmentation du nombre de soldats.
Dans le secteur gouvernemental, les Néerlandais ont publié des politiques comprenant l'amélioration des salaires des employés, l'éradication de la corruption, la division de Java en 9 régions, la refonte du système gouvernemental féodal et la mise de Batavia au centre du gouvernement.
Enfin, dans le domaine socio-économique, il existe quatre politiques, à savoir le travail contingent, le verplichte leverantie, le pré-angerstelsel et le travail corrosif . Contingent est la livraison de la taxe sur les cultures aux Pays - Bas. Verplichte leverantie est l'obligation du peuple de vendre ses récoltes aux Pays-Bas à un prix fixe. Preangerstelsel est l'obligation du peuple Priangan de cultiver du café. Enfin, le travail des cadavres est un système de travail forcé sans salaire pour les peuples du monde.
En plus de Daendels, Van den Bosch, en tant que gouverneur général des Indes orientales néerlandaises dans le monde, a également publié des politiques préjudiciables à la nation mondiale pendant la période coloniale, à savoir cultuurstelsel ou la culture forcée en 1830. Le système de culture forcée obligeait les peuples du monde à planter des cultures de base.
Le but principal de la culture forcée était de combler le vide dans le trésor néerlandais, mais il y avait diverses irrégularités dans cette pratique. La terre qui doit être cédée ne devrait être que de 1/5, mais en réalité, la terre entière doit être cédée. Les terres plantées de plantes sont toujours soumises à l'impôt.
En outre, les personnes qui ne possèdent pas de terres doivent travailler toute l'année, même si elles ne devraient travailler que 66 jours par an. Les rendements excédentaires n'ont pas été rendus au peuple. De plus, les mauvaises récoltes sont à la charge des seuls agriculteurs.
